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Commentaires
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20 commentaires
joelafouineLe 28/10/2003
A noter que la face B "Le bassite" est surpuissant. Voilà ! [merci pour la pochette]
Les paroles : [merci pour les paroles aussi]
jacques vabreLe 17/12/2004
ouille le pauvre C Jerome il est pas a son avantage sur la pochette. Le charme francais en prend un coup de Patogas dans les marbles.
A noter que la face B "Le bassite" est surpuissant. Voilà ! [merci pour la pochette]
Les paroles : [merci pour les paroles aussi]
Il a malheureusement tout comme Jacky Sardou tiré sa révérence !
Comme on dit chez inl s'est retiré du grand jeu, de la scène….
C'est pas tout à fait le disco envisagé dans Disconnection. JFM n'avait pas assez forcé sur le scotch encore.
Allons enfants de la patri-i-eu…Avec le president Giscard a l'elysee, tout va bien :))
La musique et les arrangements sont complètement pompés sur le refrain de "Laisse les gondoles à Venise"!!!!!
Même gamin, je trouvais déjà ça atroce.
Barbelivien et Jean-François Maurice, gage de qualité…
insipide et sans saveur, mais gentillet : C Jérôme méritait sûrement mieux…
A noter quand même la présence de Didier Barbelivien, dans cet anathème…
A-t-il écrit la musique ? C'est grave…
A-t-il écrit les paroles ? C'est encore plus grave…
En tout cas, bien que je n'attendais pas qu'il donne dans la musique dodécaphonique, je suis assez estomaqué qu'il ait donné dans ce genre de pamphlet cocardier…
C'est amusant, mais ça me fait toujours un peu froid dans le dos, ce genre d'hymne à la gloire de la France Eternelle…
D'où la toujours actuelle question : peut-on rire de tout ?
Un mec sympa ce C. Dommage qu'il ne soit plus là … A noter qu'en France "On a St Etienne et Poulidor", une équipe qui a perdu en finale de coupe d'Europe et un coureur cycliste qui n'a jamais eu le maillot jaune. En France on voue un culte aux deuxièmes.
ouille le pauvre C Jerome il est pas a son avantage sur la pochette. Le charme francais en prend un coup de Patogas dans les marbles.
si je ne devais retenir qu'une chose de cette chanson, ce serait : "C'est un muscadet dans un coin de bistrot". Il parait que l'on mérite sa réputation.
A noter, que l'auteur n'a pas choisi un vin des plus connus, bien que ce soit l'un des meilleurs :p
(un peu de pub : Les Muscadet sont des vins frais, secs, nerveux aux arômes subtils, floraux et fruités à dominante de pomme verte et de citron. Mais lorsqu'ils sont Sur Lie, leur vivacité se double d'un perlant inimitable.)
Jolie chanson mais la face B est d'une puissance excellente : "Le bassiste (avec des gants de boxe)", à écouter absolument…
Il a pas un petit coté sasha distel sur la pochette? qui l'eu cru:)
Tout ça, c'est bien fini, ouiiiin, qu'est-ce qui nous reste alors?
Il nous reste au moins le bon pain de campagne.
(Le 07 / 05 / 2017) : En fait, cette chanson est pleine de clichés. Et je pense que déjà en 1977 c'était le cas. Mais comme le texte est de Barbelivien, ça ne m'étonne pas trop.
J'ai un doute pour la phrase "c'est une Gauloise et une blonde à la fois", car la Gauloise blonde est une marque de cigarettes apparue en 1984. Précurseur ?
@ Kela: euh? vous le faites exprès ? justement, il clame "c'est une Gauloise et une blonde à la fois" c'est une manière de faire comprendre qu'elle est à la brune (comme les Gauloises de l'époque, de tabac uniquement brun) et "blonde" ce qui ne signifie nullement qu'il fut précurseur de la création des Gauloises blondes … bon, je ne voudrais pas être désagréable, mais la blonde, dans le coup, ne serait-ce pas un peu vous? ^^ (allez, allez, sans rancune, mais je n'allais pas vous rater) :P
Tous les clichés beauf et franchouillards bien pourris, réunis dans une seule et même chanson, que demander de plus ?
Kaptain_kirk : Réponse : Auteur : Didier Barbelivien. 5 ans plus tôt, Georges Brassens écrivait, composait et chantait "La ballade de ceux qui sont nés quelque part". Deux ans plus tôt, Renaud écrivait, composait et chantait "Hexagone", chanson qui, quoique excessive dans la provocation, est bien plus véridique sur la France, et qui parfois peut encore sembler d'actualité (Enfin, disons qu'elle était redevenue d'actualité entre 2007 et 2012) plus de quarante ans après sa création.
(Enfin, disons que selon moi Renaud excelle plus lorsqu'il est mordant sur la politique que lorsqu'il parle de ses problèmes personnels en chansons).
Et puis, citer Johnny Hallyday comme exemple de réussite de la France n'est pas très heureux. Johnny n'était, en-dehors de la France, pas du tout la star qu'il était chez nous. De plus, Jean-Philippe Smet avait choisi ce pseudonyme comme Claude Moine a choisi celui d'Eddy Mitchell et comme Isabelle Morizet avait pris celui de Karen (Carène à l'époque de la chanson de C.Jérôme) Cheryl, pour faire "américain". On voit les limites de l'attrait pour la France.
Sans compter que Johnny Hallyday sera ensuite très attiré par la Belgique. Mais cela, ni Didier Barbelivien ni C. Jérôme ne pouvaient déjà le savoir en 1977.
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