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C'est au bistrot d'Alphonse, entre onze heures et minuit,
qu'on est venus, trente ans, se tourniquer la gueule
Et se pourrir le foie, un peu toutes les nuits.
La folie va son train, la vache, elle agit seule.
Nul ne l'entend venir mais son œil est brillant
Et notre cinquantaine à pas de loup s'approche.
L'amour se fait la malle, on n'est plus très vaillant,
À la hauteur, bien sûr, mais c'est pas dans la poche !
"En fin de carrière, quand on raccroche,
Avec tous nos dollars fantômes,
On y revoir nos jolies petites mômes.
Elles auront pris dix piges de mieux,
Et vendu leurs petits cœurs tendres,
A des sous-lieutenants besogneux,
Elles en avaient trop marre d'attendre…"
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Quelle joie de retrouver ici Bernard Dimey,
On lui doit notamment les paroles de "Syracuse" sur la musique d'Henri Salvador.
Il est mort si jeune à moins de 50 ans.
J'ai eu la chance de connaitre son disciple Serge Lelouche-Gregor qui m'a raconté plein d'anecdotes sur Monsieur Dimey.
Outre Henri Salvador, il a écrit pour beaucoup dont Charles Aznavour, Juliette Greco, Mouloudji et Yves Montand. Et d'autres que j'oublie.
"En fin de carrière, quand on raccroche,
Avec tous nos dollars fantômes,
On y revoir nos jolies petites mômes.
Elles auront pris dix piges de mieux,
Et vendu leurs petits cœurs tendres,
A des sous-lieutenants besogneux,
Elles en avaient trop marre d'attendre…"
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