Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
En ce moment vous écoutez :
Fiche disque de ...
Annie Cordy - Léon
Voir du même artiste
Titre : Léon
Année : 1953
Auteurs compositeurs : Heino Gaze - Raymond Vincy - Rolf Marbot
Pochette : M. Abeilla
Durée : 3 m
Label : Columbia
Référence : ESRF 1266 (Réed. 1960)
Présentation : Titre sorti et réorchestré à de nombreuses reprises dans la longue discographie d'Annie Cordy.
Plus d'infos
Écouter le morceau
Partager ce morceau
Personne n'a cette chanson dans ses favoris
Se procurer ce disque via CDandLP.com:
Paroles
Je n'oublierai pas le soir où tu m'as dit gaiement
"J'vais jusqu'au tabac, veux-tu m'attendre un p'tit moment ?"
Depuis vingt huit jours, tu n'es pas encore de retour
Mais où es-tu, mais où, mon bel amour ?
Oh ! Léon, Léon, Léon, Léon
J'ai tant souffert de ne plus te voir
Que chaque soir dans mon désespoir
Depuis je prends la cuite
Oh ! Léon, Léon, Léon, Léon
Si tu voyais quelle est ma douleur
Tu comprendrais que j'ai mal au cœur
De ma conduite
Des nuits entières, je pleure dans mon verre
Et lorsque j'y vois double, mon trouble redouble
Les gens se roulent de voir comme une moule
Surtout quand je m'écroule
Criant comme un putois
Oh Léon ! Crois-moi,
Si j'ai vidé des tas de flacons
De vieilles fines Napo (hic) léon,
C'est pour toi mon (hic) Léon
Avant ton départ, je n'allais que dans les milk-bars
À tous mes repas je buvais du Coca-Cola
Je bois aujourd'hui, toutes les nuits
Trente whiskies et vingt cognacs
Dans des verres à demis
Léon, j'ai tant souffert de ne plus te voir
Que chaque soir dans mon déf..sespoir
Depuis je prends la cuite
Oh! Léon, Léon, Léon, Léon !
Dans le vin blanc partout, chaque soir,
Je me noircis pour chasser le noir
Oui mais ensuite…
L'amour me ronge, je bois comme une éponge
Jusqu'à l'aube prochaine, je traîne ma peine
Je me pocharde, les agents me regardent
Surtout quand je m'attarde, criant aux becs de gaz
Oh Léon ! J'suis naze
J'ai les guibolles en accordéon
Je veux rentrer vite à la maison
Avec toi, oh…
Mon Léon !
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Il s'agit d'un réengistrement, et non de la version de 1953.
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !