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Un peu à l'ombre des blockbusters que sont "Aerodynamic", "Digital love" ou encore "One more time" sur le même album on trouve cette perle instrumentale qui n'est pas loin d'être ma préférée du groupe. Le titre me fait penser à du Rondo Veneziano, mais en mieux :)
On appréciera avec délectation les subtils jeux de mots dans le titre pour ceusses à qui cela aurait échappé :
Veridis quo = very disco
et en interchangeant on obtient : Discovery = le titre de l'album des Daft Punk.
Et sur l'album , on trouve des titres "digital love" et "Superheroes" qui, clairement, rappelle du Electric Light Orchestra ( et aussi Capitaine Flam pour le second).
Et Electric Light Orchestra avait sorti un de leur plus célèbre disque en 1979 (sur lequel on trouve "Shine a little love" et "last train to London" ) et qui s'appelle, comme par hasard : Discovery.
La boucle est bouclée.
Y'en avait sous le casque pour planter une réflexion pareille.
Un des autres coups de génie de notre duo casqué est d'avoir décliné tout l'album Discovery en un long métrage animé entièrement musical : Interstella 5555 ( the story of the secret star system).
Ainsi, chaque titre correspond à l'un des chapitres de l'histoire. Les titres-chapitres s'enchainent dans le même ordre que l'album.
Le dessin animé a été réalisé par Leiji Matsumoto (le créateur d'Albator!).
Et donc, pour le chapitre "Veridis quo" , voila ce que cela donne :
J'adore ce morceau de Daft Punk. Leur meilleur, selon moi. Un plaisir de le retrouver ici. :)
J'aime beaucoup ce morceau aussi, un de mes préférés de l'album.
Par contre, je ne peux m'empêcher de penser - en l'écoutant - à l'émission de Laure Adler : L'heure bleue sur France Inter dont il a servi de générique.
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