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Fiche disque de ...
Françoise Hardy - La maison où j'ai grandi
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Titre : La maison où j'ai grandi
Année : 1966
Auteurs compositeurs : E. Marnay / Celentano - Beretta - Del Prete
Pochette : Jean-Marie Périer
Durée : 3 m 36 s
Label : Vogue
Référence : EPL 8427)
Présentation : Adaptation de la chanson "Il ragazzo della via Gluck" par Adriano Celentano .
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Ajouté le 18/06/2021
Au TOP 50 de B&M :
Classé 3 fois numéro 1
Classé 8 fois dans les 10 premiers
Classé 17 fois dans les 50 premiers
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Paroles
Quand je me tourne vers mes souvenirs
Je revois la maison où j'ai grandi
Il me revient des tas de choses
Je vois des roses dans un jardin
Là où vivaient des arbres maintenant la ville est lÃ
Et la maison, les fleurs que j'aimais tant
N'existent plus
Ils savaient rire, tous mes amis
Ils savaient si bien partager mes jeux
Mais tout doit finir pourtant dans la vie
Et j'ai dû partir, les larmes aux yeux
Mes amis me demandaient
Pourquoi pleurer ?
Découvrir le monde vaut mieux que rester
Tu trouveras toutes les choses qu'ici on ne voit pas
Toute une ville qui s'endort la nuit dans la lumière
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance
Je savais déjà que j'y laissais mon cœur
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance
Mais moi, je pense encore à leur bonheur
À l'insouciance qui les faisaient rire
Et il me semble que je m'entends leur dire
Je reviendrai un jour, un beau matin parmi vos rires
Oui je prendrai un jour le premier train du souvenir
Le temps a passé et me revoilÃ
Cherchant en vain la maison que j'aimais
Où sont les pierres et où sont les roses
Toutes ces choses auxquelles je tenais ?
D'elles et de mes amis plus une trace
D'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places
Là où vivaient des arbres maintenant la ville est lÃ
Et la maison, où est-elle, la maison où j'ai grandi ?
Je ne sais pas où est ma maison
La maison où j'ai grandi
Où est ma maison ?
Qui sait où est ma maison ?
Ma maison, où est ma maison ?
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
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Commentaires
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C'est peut-être parce que je n'ai découvert l'original qu'il y a quelques années alors que la version de Françoise a bercé mon enfance, vu qu'il s'agissait d'un EP de ma maman (EP quasiment parfait, d'ailleurs, avec « Je ne suis là pour personne » et « Il est des choses » et le sublime « Tu verras »), mais je trouve cette reprise infiniment supérieure à l'original.
Notons au passage que c'était l'époque bénie où des pays étrangers tels que l'Italie ou l'Allemagne avaient leur place dans la culture pop française, contrairement à aujourd'hui où le rouleau compresseur ricain a quasiment tué tout le reste.
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