Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu du site, les annonces publicitaires et d'analyser notre trafic.
Nous partageons également des informations avec nos partenaires, de publicité ou d'analyse
mais aucune de vos données personnelles (e-mail, login).
En ce moment vous écoutez :
Fiche disque de ...
Bernard Lavilliers - Quinzième round
Voir du même artiste
Titre : Quinzième round
Année : 1977
Auteurs compositeurs : Bernard Lavilliers
Pochette : Alain Marouani , Gladys Rose
Durée : 5 m 5 s
Label : Barclay
Référence : 90 143
Plus d'infos
Écouter le morceau
Partager ce morceau
1 personne
a cette chanson dans ses favoris !
Se procurer ce disque via CDandLP.com:
Paroles
Faut pas jouer les loubards
Pas casser les portes
Pas rêver qu'un blouson noir
Décuple les forces
Si j'pouvais m'arrêter lÃ
Passer mes gants et mes bras
Autour de son cou fragile
Et rêver que c'est facile
Et rêver que c'est facile
Frappe du gauche, frappe des deux mains
Avance toujours, avance
Fais gaffe au contre, serre bien les poings
Avance toujours, avance
Rentre la tête, ton crochet droit
Avance toujours, avance
T'es un ringard, t'as pas de souffle
Avance toujours, avance
T'es pas mobile, et t'es trop lourd
Avance toujours, avance
Les coups sonnent, on aime ça
Avance toujours, avance
T'es trop vieux et c'est la dernière fois
Qu't'avances toujours, qu't'avances
J'aimerais revoir ma mère, v'là mon grand qui rentre
Tout petit en plein hiver au chaud dans son ventre
Un petit jardin discret des soucis et des pensées
Tout un monde simplifié et des yeux pour vérifier
Et des yeux pour vérifier
C'est souvent dur à porter toute la violence
Tu peux pas te raconter faire des confidences
Une fois qu'il est sectionné le cordon vital
Tu comprends qu'il faut miser sur tes initiales
J'ai mal aux mains, j'ai mal aux os
J'avance toujours, j'avance
J'relève mes poings, j'fais le gros dos
J'avance toujours, j'avance
Je touche trente sacs pour ce boulot
J'avance toujours, j'avance
Si j'dormais plus, j'aurais l'tempo
J'avance toujours, j'avance
Je l'ai touché, ça coule à flot
J'avance toujours, j'avance
Il y a du sang plein les carreaux
J'avance toujours, j'avance
Je vais l'finir, j'aurai sa peau
J'avance toujours, j'avance
Crochet au foie
J'suis dans l'sirop
Je suis un fou, un paumé, j'ai les mains qui tremblent
Je veux bien t'imaginer, une vie ensemble
Je vais rentrer à l'hôtel dans la jungle des poubelles
En passant près du métro j'appellerai son numéro
J'appellerai son numéro
Mon poids mort sur son divan j'ai le corps qui vibre
Une marée en dedans qui perd l'équilibre
J'ai envie de faire l'amour lentement et en plein jour
Dans une chambre chauffée, habitée, ensoleillé
Habitée, ensoleillé
Faut pas jouer les loubards
Pas casser les portes
Pas rêver qu'un blouson noir
Décuple les forces
Si j'pouvais m'arrêter lÃ
Passer les gants et mes bras
Autour de son cou fragile
Et rêver que c'est facile
Et rêver que c'est facile
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Commentaires
Voir tous les commentaires
Au final une compo très classique chez Lavilliers : une alternance entre des passages très lents et calmes et d'autres au rythme soutenu, urgent. On retrouve ce type de structure dans nombre de ses albums des années 90.
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !