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Loco, Loco, Loco
C'est le nom qu'ils me donnent
Et qui veut dire fou.
Et dans ce monde
Où tous les hommes se croient debout
Je suis le seul à me vanter
De me traîner à tes genoux.
Loco, Loco, Loco
C'est le nom qu'ils me donnent
Et qui veut dire fou.
Et dans ce monde
Où tous les hommes se croient debout
Je suis le seul à me vanter
De me traîner à tes genoux.
Loco, Loco, Loco
C'est le nom qu'ils me donnent
Et qui veut dire fou.
Et dans ce monde
Où tous les hommes se croient debout
Je suis le seul à me vanter
De me traîner à tes genoux.
Loco, Loco, Loco
C'est le nom qu'ils me donnent
Et qui veut dire fou.
Et dans ce monde
Où tous les hommes se croient debout
Je suis le seul à me vanter
De me traîner à tes genoux.
Superbe titre que je connais depuis mon enfance, grâce à ma maman fan de Julien Clerc. Je l'écoutais sur une compilation "Disque d'or vol.2" sortie chez Pathé-Marconi en 1980, puis sur une autre compilation "Préférences" sortie chez Virgin en 1985.
C'est l'adaptation par Etienne Roda-Gil de "Balada para um loco" d'Amelita Baltar.
Dire que pendant 50 ans j'ai été persuadé qu'il chantait "L'enfant, l'enfant, l'enfant" pour découvrir en lisant la fiche que c'est "Loco, loco; loco"…
Encore un rêve qui s'écroule… :-)
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