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Je regarde l'oiseau effleurant de son aile l'onde encore endormie
Et je vois tes yeux qui, les matins, me rappellent nos tendres insomnies
Tes yeux qui, ces matins, pleins de reconnaissance, ont du mal à s'ouvrir
Et qui semblent me dire au milieu du silence : Dieu que j'ai pu jouir [Cris de mouettes]
Oh vos gueules les mouettes !
A en mourir
[Cris de mouettes]
Transcripteur : Dam-Dam
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Commentaires
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4 commentaires
scaracrabeLe 06/05/2018
Et c'est encore peter&sloane qui nous propose ce titre. Merci à lui.
SirApeLe 27/05/2020
A mon sens, ça n'est pas "Je regarde l'oiseau effleurant de son aile nos deux corps endormis" mais plutôt "Je regarde l'oiseau effleurant de son aile l'onde encore endormie"
Et c'est encore peter&sloane qui nous propose ce titre. Merci à lui.
Les paroles de l'écrivaine Françoise Dorin (même si le chant devient pianississimo avant les mouettes, on entend quand même le mot interdit) : [Merci]
A mon sens, ça n'est pas "Je regarde l'oiseau effleurant de son aile nos deux corps endormis" mais plutôt "Je regarde l'oiseau effleurant de son aile l'onde encore endormie"
Tiens, je ne savais pas que Casimir avait sévit dans le grivois…
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