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REFRAIN
Moi je voudrais être cultivateur
Pour être heureux tout seul sur mon tracteur
Moi je voudrais être un bon paysan
Pour être heureux et passer du bon temps
A chaque printemps, j'emmène mes enfants « Mais où ça ? »
Pour visiter le Salon de l'agriculture « Ah »
Je passe des heures dans les encombrements
A me demander qu'est-ce que je fous là vraiment « Hein »
Quand je respire tous ces parfums troublants
Je sens soudain l'appel de la nature
Je donnerais tout pour sentir le crottin
Du fond de la grange au fond de mon jardin
REFRAIN
Vas-y, dis-leur :
Pour que ma meuf ne manque jamais de persil
Pour faire pousser, j'arroserai les plates-bandes
D'un coup de jet, je nettoierai le pissenlit
Car j'adore ça et ma p'tite femme aussi, et ma p'tite femme aussi
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D'un point de vue festif, ça ne vaut pas Klaus und Klaus ou Fascagat.
D'autant que la caricature est assez peu fine ; les accents du terroir sont mal imités, ça sent un peu les comiques de MJC.
Au final, on aurait pu penser que depuis les années 80 ce "genre" était révolu ; mais non. Notre millénaire produit encore ce genre de clichés. Soit.
Lorsque le photographe a pris le cliché pour la pochette, il leur a dit "ne bousez plus"
Moi, je plains les demoiselles sur la pochette et aussi dans le clip : Et toi, je te reconnais, c'est toi qui est là dedans ?
Les paroles : [Merci !] ♫
Le clip :
C'est proche des chansons des Glochos.
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