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Claude BukowskiLe 18/03/2020
Surtout le texte n'a plus rien à voir avec l'original (pour le peu que je comprenne en Espagnol) ; d'une espèce de mirage hippie, on passe à un type qui geint pour que sa grosse revienne, si je ne m'abuse.
Dommage ; les Espagnols manquent-ils à ce point de chansons d'amour malheureux ?
Que c'est mauvais !
Surtout le texte n'a plus rien à voir avec l'original (pour le peu que je comprenne en Espagnol) ; d'une espèce de mirage hippie, on passe à un type qui geint pour que sa grosse revienne, si je ne m'abuse.
Dommage ; les Espagnols manquent-ils à ce point de chansons d'amour malheureux ?
Le changement radical du thème de la chanson en langue espagnole est peut-être dû au caractère un peu "européocentriste" de la version originale. Si en 1969, la Californie évoque aux jeunes européens les hippies de San Francisco, la liberté de fumer de la marijuana,la génération beat, les Doors et Jimi Hendrix… Pour le public latino, dont on peut supposer que cette version soit destinée, la Californie c'est au mieux une histoire familiale de migration difficile, au pire un territoire perdu dans l'imaginaire populaire du Mexique, principale pays hispanophone au monde, où l'on peut trouver d'ailleurs ce 45 tours contenant cette version chez les disquaires de collection.
Pour ce qui est du texte en espagnol, déjà un indice : personne ne l'a signé. Signe évident qu'il a été fait à l'arrache, peut-être par un français, tant le style est lourdingue.
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