Toujours contents d'la mettre dedans
Jamais pressés de la r'tirer
Voilà comment qu'on baise
A la mode française
En Italie on baise au lit
En Angleterre on baise par terre
Mais c'est toujours en France
Qu'on atteint la meilleure cadence
Quand l'artilleur de Metz
Arrive en garnison
Toute les filles de Metz
Se mettent le doigt dans l'con
Pour préparer le chemin
A l'artilleur malin
Qui leur plantera demain
Sa graine dans le jardin
Artilleur, mes chers frères
A ta santé buvons un verre
Et rechantons ce gai refrain
Vive les femmes et le bon vin
Qu'on apporte, qu'on apporte
Des pucelles, et qu'on les foute à poil
Qu'on apporte, qu'on apporte
Des pucelles, et nous les garderons
C'était un grenadier qui revenait bredouille (bis)
Qu'était si mal vétu qu'on lui voyait les… jambes
Le tambour bat la générale
La générale va, le régiment s'en va (bis)
Père Dupanloup dans son berceau (bis)
Bandait déjà comme un taureau (bis)
Pour satisfaire ses p'tits caprices
Il voulait baiser sa nourrice
Ah ah diguedingon, l'père Dupanloup est un cochon
C'était un hussard de la garde
Qui revenait de garnison (de Briançon)
Portant sa pine en hallebarde
Agrémentée de deux roustons (et de morpions)
En descendant la rue Trousse-Houille
Il rencontra la garce Manon (elle pue du con)
Et lui dit « chaste fripouille
Le régiment s'en va demain (la pine en main) »
Dans un amphithéatre (ter)
'Phithéatre, phithéatre, phithéatre tsoin tsoin
Y'avait un macchabée (ter)
Accablé, un flippé, un speedé tsoin tsoin
Pompons la merde, pompons la gaiment
Et envoyons au bain ceux qui sont pas des frères
Pompons la merde, pompons la gaiment
Envoyons sur les roses ceux qui sont pas contents
O muse prète-moi ta lyre
Qu'afin en vers je puisse dire
Un des combats les plus fameux
Qui se déroula sous nos cieux
De profundis Morpionibus
Euh, sur un minou de forte taille
Six cent mille poux livraient bataille
A nombre égal de morpions
Qui défendaient l'entrée du con
La bataille fut gigantesque
Tous les morpions périrent ou presque
A l'exception des plus trapus
Qui s'accrochèrent au poil du cul
De profundis Morpionibus
Et l'on s'en fout d'attraper la vérole
Et l'on s'en fout pourvu qu'on tire un coup
Et l'on s'en fout d'attraper la vérole
Et l'on s'en fout pourvu qu'on tire un coup
On est cent fous, cent fous dont vingt-cinq folles
On est cent fous, cent fous fanas du cioul
Et on s'en fout d'attraper les plus molles
Et on s'en fout, puisque on est pas des mous
Transcripteur : hre mgbye |
Mon dieu… La musique, les paroles, tous les éléments sont là pour faire un bide olympique…
je rêve ou c'est une parodie d'un poème de victor hugo ?
Peux-tu préciser ta pensée, merou (toi dont la peau se tond) ?
cela ne vaut pas les frères jacques : eux ont la "canaillerie" et même l'obscénité saine, paillarde ; sans vulgarité, ce qui gâche tout ici.
Donc : NON.
J'imagine l'enregistrement un peu pathétique : "Bon, Roger, tu me refais un "la pine en main", mais plus suave s'il te plaît…"
Je reve ou il y a meme des fausse rimes ?
Ah, la finesse d'un pot particulièrement pourri de chansons paillardes ! C'est la fête !
C'est vraiment pas drôle…
On se sent rajeunir là !
Le père Dupanloup il y en a d'autres mais aussi sous d'autre noms : bali balo !
Tout semble indiquer que les personnages dissimulés par le rideau (v. le verso de la pochette) sont Goofy, Donald et Mickey. Quel peut bien être le sens caché de cela (surtout lorsqu'on affiche fièrement "Dansons français") ?
M.Mérou ---> Si tu fais allusion au passage épique ("O muse, prête-moi ta lyre…") issu de la chanson "De Profondis Morpionibus", tu n'es pas si loin du compte puisque cette paillardise du XIXeme siècle est due à la plume de Théophile Gautier.
[date :] 1980
On prononce pas le "t" dans Metz !!!!
Erreur : Qui se déroula sous ces cieux
Correction : Qui se déroula sous NOS cieux
A la fin, une reprise du Yaketi Sax connu surtout pour accompagner les tribulations de Benny Hill. Ce n'est pas français mais on reste bien dans le thème.
Il faut être identifié pour ajouter un commentaire !