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J'aime, j'ai peur
Le fils du dictateur
Même, mes sœurs
Toutes les nuits en rêvent, rêvent, rêvent
Je voudrais être une fille, une fille
Et pour lui tirer l'aiguille, l'aiguille
Il m'offrirait des jonquilles
Tout en me prenant la main
Je connaîtrais les brindilles sur l'herbe du champs voisin
J'aime, j'ai peur
Le fils du dictateur
Même, mes sœurs
Toutes les nuits en rêvent, rêvent, rêvent
hugLe 21/03/2012
C'est certes surprenant pour du France Gall, mais c'est justement ça qui est bien. Une chanson comme ça, a priori pas "faite" pour elle, elle la chante super bien, je trouve. Enfin, là , je trouve qu'on voit bien son talent d'interprète, c'est-à -dire en s'adaptant à une chanson JUSTEMENT très surprenante par rapport à ce qu'elle fait d'habitude.
Face B du 45 tours "Les années folles"
Les paroles se sont pas sans analogie avec celles de Libertad de Marianne Mille et Maurice Dulac, également dues à Boris Bergman…
Mais que fait-elle avec une casquette des Expos de Montréal? D'autant plus que 1969 fut l'année de leur entrée dans le baseball majeur…
On lui a refilé ça parce que Marie LAFORET n'en a pas voulu, c'est ça?
C'est certes surprenant pour du France Gall, mais c'est justement ça qui est bien. Une chanson comme ça, a priori pas "faite" pour elle, elle la chante super bien, je trouve. Enfin, là , je trouve qu'on voit bien son talent d'interprète, c'est-à -dire en s'adaptant à une chanson JUSTEMENT très surprenante par rapport à ce qu'elle fait d'habitude.
Musicalement très réussi, je trouve. Mexicanisant juste ce qu'il faut avec les yahhaa et les trompettes…
Bien sympa et bien décalé par rapport a la production de la France Gall de l'époque.
Je ne suis pas de l'avis de kaptain_kirk en ce qui concerne l'aspect décalé : la production de France Gall de (disons) 1968 à 1974 est pour moi sa plus intéressante, et ceci en est un exemple bien représentatif, pas du tout comparable à ce qu'elle a fait avant ni (surtout !) après.
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