morphee Le 26/10/2003
Signature de Pascal Olmeta, dont je soupçonne aussi une participation vocale, au verso : "S'il ne reste que l'avenir pour effacer le sort, dans nos souvenirs on garde leur vie à la mort demain dans nos cœurs ils seront encore".
Disque sorti 3 mois après le 5 mai 1992, date de l'effondrement d'une tribune provisoire au stade Furiani juste avant la demi-finale de Coupe de France entre Bastia et l'OM et qui fit 30 morts.

wwh? Le 27/10/2003
Je suis pas sur que ça ait aidé qui que ce soit, ce truc ! ;-)

canonniers Le 04/01/2005
Décidemment à Furiani, les drames se sont enchainés. Je n'avais jamais entendu cette merveille

bébert_88 Le 18/01/2005
Un chouya I Muvrini au niveau des chœurs.

tintin au congo Le 10/05/2005
C'est un peu comme le pal ; ça commence très bien (les chœurs) et après évidemment, ça fait plus mal, là…

I-love-Charlotte Le 07/06/2005
Pourquoi les chœurs chantent-ils "Kyrie Eleison" (seigneur prends pitié, en Grec) ? c'est un chant religieux ?

hre mgbye Le 11/07/2021
    Je me souviens qu'à l'époque les média parlaient de la « catastrophe de Furiani », comme s'il s'agissait d'un drame national voir même mondial d'une ampleur inégalée. Dans les années 90, il y avait encore près de 10 000 morts par an sur la route, soit, chaque jour, à peu près autant que le total des gens tués dans cet incident. Alors certes, c'est encore trente morts de trop, mais je suppose que le fait que ce soit des fans de foot avait pesé beaucoup dans la balance médiatique, tant les beaufs pouvaient s'identifier à eux. « Panem et circense », ça ne date pas d'hier !