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Auteurs Messages
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:07:40
Connaissez-vous Christian Vidal et son bide du siècle " Angélique " ?

Et comment éviter Sheila et Ringo avec " Les Gondoles à Venise " ?

lol
Yvesbegood
scaracrabe
Mollusque bidopode
scaracrabe - Mollusque bidopode
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Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:12:19
Lol est un palindrome malfaisant
Qui va dans la lucarne,,,
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:13:16
Tu préfères MDR ???
Yvesbegood
scaracrabe
Mollusque bidopode
scaracrabe - Mollusque bidopode
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Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:15:31
Non.
Qui va dans la lucarne,,,
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:16:27
Et alors, tu connaîs ???
Vive la Wallonie !!!
scaracrabe
Mollusque bidopode
scaracrabe - Mollusque bidopode
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Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:18:55
OUI
et oui
scaracrabe
Mollusque bidopode
scaracrabe - Mollusque bidopode
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Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:20:45
oups…effacez siouplait
Tryph
Homoncule
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Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 21:42:02
Oui on connait, mais libre à toi de t'installer ici et découvrir (ou redécouvrir) des tonnes d'autres trucs. Bon amusement.
Ah, au fait, le seul palindrome que nous nous permettons ici c'est DTC. Alors, DTC.
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:10:17
C'est quoi DTC ? Dans Ton Cul ? Pour info, ce n'est pas un palindrôme mais bien une abréviation. Un palindrôme, c'est un mot qui se lit de gauche à droite et de droite à gauche. Comme LAVAL, par exemple, pour les amis adeptes du pain français…
Walon è fîr di l'esse !!!
Le Sapin Sobre
Pine head
Le Sapin Sobre - Pine head
Inscrit depuis le 03/06/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:13:21
Ou kayak.
Mais quand on retourne le kayak, on est mouillé. (C'est du Geluck, si mes souvenirs sont exacts.)
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:16:52
Excellent et c'est du Wallon !!!
Wallon un jour, Fouronnais toujours !!!
Djanik77
Sec s'emballe
Djanik77 - Sec s'emballe
Inscrit depuis le 26/03/2004
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:23:17
Ou Laval.
Excellent, et c'est du mayennais.
Le Sapin Sobre
Pine head
Le Sapin Sobre - Pine head
Inscrit depuis le 03/06/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:25:10
Ou crêpe.
Sauf si tu as déjà mit du sucre sur un côté.
Flaming Youth
Plus beth que méchant
Flaming Youth - Plus beth que méchant
Inscrit depuis le 07/05/2006
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:39:06
une bidonette palindromique
Flaming youth will set the world on fire
Flaming youth, our flag is flying higher and higher and higher…
Flaming Youth
Plus beth que méchant
Flaming Youth - Plus beth que méchant
Inscrit depuis le 07/05/2006
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:39:21
Posté par Flaming Youth :
Et en plus elle est très gentille !
Gozette et Gogo
Chicon carne
Gozette et Gogo - Chicon carne
Inscrit depuis le 03/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 22:52:52
.emordnilap nu sap tse'n iceC
Enfant, j'adorais chanter
"J'aime pimpoler sa falèse…"
qui me semblait coquin.
Maintenant je déteste :
"J'aime Paimpol et sa falaise…"
C'est con.
Tryph
Homoncule
Inscrit(e) depuis le 19/01/2003
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 23:00:07
Posté par yvesbegood :
DTC, Pour info, ce n'est pas un palindrôme
Oui, j'ai dit n'importe quoi là, en effet, et je n'ai aucune excuse (à part le mdr de ta réponse qui m'a fait subitement oublier ce qu'est un palindrome). Ça va être dur de se recrédibiliser après ça. As if I cared.
La honte!
Pitcairn
Marche ou crème
Pitcairn - Marche ou crème
Inscrit depuis le 06/08/2002
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 23:33:31
Tu l'as trop écrasé, César, ce port-salut.
Gozette et Gogo
Chicon carne
Gozette et Gogo - Chicon carne
Inscrit depuis le 03/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 11-11-2006 à 23:49:03
Bon, si on donne des exemples citons Perec alors :


"Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa.

Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Etre las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal.

Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale: le verre si obéi du Pernod – eh, port su ! – obsédante sonate teintée d'ivresse.

Ce rêve se mit – peste ! – à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne sècrete-- verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire !

L'écho fit (à désert): Salut, sang, robe et été.

Fièvres.

Adam, rauque; il écrit: Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, genial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode: Hep, mortel ?) lia ta balafre native.

Litige. Regagner (et ne m'…).

Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.

Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla:

Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !

Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois: si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter: gercé, repu, denté…) ni tobacco.

Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ?

Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson !

Et nier téocalli ?

Cave canem (car ce nu trop minois – rembuscade d'éruptives à babil – admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net.

Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-git. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat: ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.

L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh… rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ?

Élucider. Ion éclaté: Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep: macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arreter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ?

Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.

Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés:

Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu: O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le cœur !

Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire: Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire. . .

Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana: l'Oubli, fétiche en argile.

Foudre.

Prix: Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,

Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa:

Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale;

Volcan. Roc: tarot célé du Père.

Livres.

Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge: ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei…

Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël: crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon.

Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts: angiome. T'es si crâneur !

. . .

Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées…

S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M. . . !) ramifié ?

Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti: Espiègle (béjaune) Till: un as rusé.

Il perdra. Va bene.

Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?

Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder: à marin nabab, murène risée.

Le trace en roc, ilote cornéen.

O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !

ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je: devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira…), stérile, dodu.

Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.

Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé: canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli.

Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville…) tu déconnes. Été: bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez.

N'obéir.

Pali, tu es ici: lis abécédaires, lis portulan: l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?

Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.

Lu, je diverge de ma flamme titubante: une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As.

Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne.

Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège.

Ipéca…: lapsus.

Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital.: palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net.

Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de – d'ac ? – submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte…

Nos masses, elles dorment ? Etc… Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine.

Valser. Refuter.

Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec: Regret éternel. L'opiniâtre. L'annu- lable.

Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde: celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum

Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit.

Il évita, nerf à la bataille trompé.

Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum: rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve: if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ?

Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge: ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)

Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts: l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé: Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre: Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart."
Mais je reconnais que cela nous éloigne un peu de :
"Mon bonheur c'est toi, jour après jour et pour toujours, Angéliii-ique
Mon bonheur c'est toi, nuit après nuit et pour la vie, Angéliii-ique
"
anina59
Rhôôô minet
anina59 - Rhôôô minet
Inscrite depuis le 04/03/2006
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 12-11-2006 à 00:41:50
Posté par Flaming Youth :
Et en plus elle est très gentille !
Mon neveu, j't'adore!:-)

Quelle famille formidable on forme, n'est-il pas?!
Bon, y'a pas, faudra que tu viennes sur la péniche un de ces 4….!!
Tryph
Homoncule
Inscrit(e) depuis le 19/01/2003
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 12-11-2006 à 09:40:22
En plus j'ai un alibi! (et l'on notera un LOL sur cette antique page là, har har har)
Au fait, oui.
yvesbegood
Sain(e) d'esprit
Inscrit(e) depuis le 06/05/2005
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 12-11-2006 à 23:53:03
Posté par TrypholTourneson :
Oui, j'ai dit n'importe quoi là, en effet, et je n'ai aucune excuse (à part le mdr de ta réponse qui m'a fait subitement oublier ce qu'est un palindrome). Ça va être dur de se recrédibiliser après ça. As if I cared.
Ben oui, personne n'est parfait, surtout nos amis français qui oublient parfois que leurs voisins wallons peuvent aussi être linguistes : nous aussi savoir parler votre langue, bwana…
Fîr d'esse walon, nom di dju di nom di dju…
Tryph
Homoncule
Inscrit(e) depuis le 19/01/2003
Re: Angélique - Les Gondoles à Venise Le 12-11-2006 à 23:58:26
Posté par yvesbegood :
nous aussi savoir parler votre langue, bwana…
Eh oh, ça va, mon meilleur ami est de Liège.
Merci brâmint. A r'voye.

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