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En passant la frontière des hommes ont tué
En passant la frontière ils t'ont fait pleurer
Chante avec nous ce chant de paix
Clame avec nous après la liberté
Ils étaient plus de 100 000 ces gens venus d'ailleurs
Ils ont pillé ta ville, blessé ton pauvre cœur
Ils s'en sont allés et ils t'ont laissé
Une maison en ruine, ton seul héritage
Au bord de la famine, tu te donnais en gage
Tu as pleuré, maintenant viens chanter avec nous.
Bis (toute la chanson)
Transcripteur : anina59
Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit.
Nous nous engageons à en retirer l'affichage en cas de demande de leur part.
Le Sapin SobreLe 23/03/2008 à 22:51
Les heureux détenteurs des œuvres des Snuls auront vu le live de cette chanson !
anina59Le 24/03/2008 à 12:19
Le dernier titre manquant pour avoir enfin l'intégrale des œuvres de Robert. Que cet homme soit béni pour l'éternité.
bide_au_nezLe 23/04/2009 à 22:16
Mais de quoi il parle???
Claude BukowskiLe 20/08/2009 à 14:08
Je pense qu'il doit faire allusion aux exactions commises en Belgique par les Allemands en 1914 (très franchement) ; cela avait réellement marqué les esprits… au point qu'un jeunot comme Robert Hamels était encore capable d'en faire une chanson 7 ou 8 décennies plus tard…
Et c'est incroyable ; première fois que j'entend cette chanson, et je n'avais pas le nez sur mon écran ; mais même de loin j'ai de suite identifié l'interprète ; quel style inimitable !
sadapopLe 01/04/2010 à 21:39
Original,
une chanson et un texte massacrés ayant pour thème un massacre.
Plus morbide difficile.
Notez tout de même l'espoir qui perle sur la dernière phrase.
Fallait oser.
Bide et GambierLe 27/11/2011 à 16:35
De quoi parle t-il ? Sans doute de l'invasion de la Belgique par les Allemands en 1914, avec les exactions commises sur les populations civiles. Exactions dont le souvenir est resté très présent en Belgique, et aussi dans le Nord Pas-de Calais. D'ailleurs, l'occupation allemande de 14-18 fut bien plus dure que celle de 40-44 dans ces régions, ce dont évidemment le reste de la France ne soupçonne pas (pas un seul casque à pointe en Bretagne ou dans le Gers en 14-18 par exemple). Exactions réelles ou bien imaginaires, par exemple les enfants aux mains coupées; il fallait bien que les Allemands correspondent à l'image de Brutes que la propagande leur collait.
Ou alors, allusion à la campagne de mai 1940, ou bien celle des Ardennes en 1944.
kaptain_kirkLe 30/03/2023 à 11:01
Ça donne pas vraiment envie de chanter avec lui.
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Les heureux détenteurs des œuvres des Snuls auront vu le live de cette chanson !
Le dernier titre manquant pour avoir enfin l'intégrale des œuvres de Robert. Que cet homme soit béni pour l'éternité.
Mais de quoi il parle???
Je pense qu'il doit faire allusion aux exactions commises en Belgique par les Allemands en 1914 (très franchement) ; cela avait réellement marqué les esprits… au point qu'un jeunot comme Robert Hamels était encore capable d'en faire une chanson 7 ou 8 décennies plus tard…
Et c'est incroyable ; première fois que j'entend cette chanson, et je n'avais pas le nez sur mon écran ; mais même de loin j'ai de suite identifié l'interprète ; quel style inimitable !
Original,
une chanson et un texte massacrés ayant pour thème un massacre.
Plus morbide difficile.
Notez tout de même l'espoir qui perle sur la dernière phrase.
Fallait oser.
De quoi parle t-il ? Sans doute de l'invasion de la Belgique par les Allemands en 1914, avec les exactions commises sur les populations civiles. Exactions dont le souvenir est resté très présent en Belgique, et aussi dans le Nord Pas-de Calais. D'ailleurs, l'occupation allemande de 14-18 fut bien plus dure que celle de 40-44 dans ces régions, ce dont évidemment le reste de la France ne soupçonne pas (pas un seul casque à pointe en Bretagne ou dans le Gers en 14-18 par exemple). Exactions réelles ou bien imaginaires, par exemple les enfants aux mains coupées; il fallait bien que les Allemands correspondent à l'image de Brutes que la propagande leur collait.
Ou alors, allusion à la campagne de mai 1940, ou bien celle des Ardennes en 1944.
Ça donne pas vraiment envie de chanter avec lui.
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